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Peinture - Street art
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Par madame.arpin le 13 Février 2016 à 14:27
Depuis 4 ans, cet artiste espagnol interroge l’Homme sur les conséquences de son mode de vie sur la nature. Avec son nouveau projet, Isaac parcourt plusieurs villes et y dépose des statuettes de ciment dans des mises en scène étranges qui attirent notre attention et qui nous poussent à réfléchir. Des clichés surprenants à découvrir absolument !
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Par madame.arpin le 1 Mars 2016 à 21:19
Hanté par les ombres des corps volatilisés laissées sur les murs, à Nagasaki et à Hiroshima en août 1945, Ernest Pignon-Ernest appose des images peintes, dessinées, sur les murs des cités, dans des cabines téléphoniques, images qui se fondent dans l'architecture urbaine.
Mémoire de la guerre d'Algérie :
L'Afrique du Sud, entre Apartheid et fléau du sida
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Par madame.arpin le 2 Mars 2016 à 12:10
Découverte du jour : Jean René alias "JR", artiste français engagé, "révélateur d'humanité" (Le Monde, 01-10-2009) utilisant la technique du collage photographique.
Dès ces premiers projets, l'artiste affirme vouloir amener l'art dans la rue : « Je possède la plus grande galerie d’art au monde : les murs du monde entier. J’attire ainsi l’attention de ceux qui ne fréquentent pas les musées habituellement. »
"Portrait d'une génération" (2004-2006) : portraits de jeunes de banlieue exposés, en très grand format, sur les murs de la Cité des Bosquets de Montfermeil. Ce projet illégal devient officiel lorsque la mairie de Paris affiche les photos de JR sur ses bâtiments.
"Face 2 face" (2007) : immenses portraits d’Israéliens et de Palestiniens face à face dans huit villes palestiniennes et israéliennes et de part et d’autre de la barrière de sécurité.
"Women are heroes" (2008) : pour rendre hommage à celles qui occupent un rôle essentiel dans les sociétés, mais qui sont les principales victimes des guerres, des crimes, des viols ou des fanatismes politiques et religieux, JR a recouvert l’extérieur de la favela Morro da Providência, à Rio de Janeiro (Brésil), d’immenses photos de visages et de regards de femmes. « C’est un projet fait de bric et de broc, comme la favela elle-même. On s’est adapté à l’environnement dans cet univers où les toits des maisons sont en plastique et les revolvers des enfants en acier. On s’est débrouillé malgré les rues en pentes, les maisons chancelantes, les câbles électriques imprévisibles et les échanges de tirs qui traversent parfois plusieurs maisons », dit JR. En 2014, un regard de femme est collé sur un porte-containeur au Havre, et voyage jusqu’en Malaisie.
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Par madame.arpin le 23 Janvier 2017 à 18:53
Quand le street art s'inspire de l'histoire des arts et s'empare de l'actualité...
Scène de naufrage en bord de Seine. Parce que "eux, c'est nous" (Pierre Delavie)
Pour en savoir plus : francetv.fr
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